La série bulgare de courses à obstacles arrive en France en 2016 et elle a tout pour créer la surprise cette année et vise 10 000 participants pour sa première année.

Ce n’est pas une course ni une compétition   

La Legion Run n’est pas une série délire. Avec ses obstacles à consonnance latine, elle s’inspire de la légion romaine. Si elle partage le côté militaire antique des Spartan Race, elle s’en démarque par un choix radical : l’épreuve ne propose et ne proposera ni chronométrage ni classement. Lors des différentes courses, chaque participant devra donc se battre avant tout contre lui-même pour passer la ligner d’arrivée.

Avec sa distance de 5 kilomètres et aucun obstacle obligatoire, c’est une course accessible au plus grand nombre mais, pourtant, le niveau de certains obstacles semble impressionnant. En les observant de plus près, ceux-ci semblent adaptés pour valoriser une victoire envers soi-même et non une performance pure. Ainsi sur le titinebellum, la corde à nœuds, la cloche est placée à une hauteur raisonnable pour garantir un défi mental sans chercher à casser les participants.

De la même façon, le funis est une combinaison d’éléments à bras mais plusieurs niveaux sont proposés aux participants.

Legion Run vient occupé un espace encore vierge dans le paysage français de la course à obstacles avec son esprit proche de Spartan Race, son concept à la The Mud Day tout en comportant une distance plus courte et une grosse densité d’obstacles.

Au moins trois courses en 2016

Cette  série bulgare de courses à obstacles arrive en France en 2016 avec trois événements :

Des pré-inscriptions sont également ouvertes pour une Légion Run dans la région lyonnaise.